[Témoignage] La rentrée de mars, une opportunité

[Témoignage] La rentrée de mars, une opportunité

[Témoignage] La rentrée de mars, une opportunité

La rentrée de mars, c’est quoi et comment ça fonctionne ? Qui peut le faire ? Amandine Grandjean, étudiante en 2e année de BTS Communication à l’ETS, est passé par là et raconte son expérience.

Pourquoi faire une rentrée décalée ?

Je m’étais inscrite en licence de droit après le lycée. Cela ne m’a pas plu du tout car je me sentais mal à l’aise, pas assez encadrée et noyée dans la masse. J’ai voulu changer de filière mais c’était un peu trop tard et compliqué de trouver une école qui accepte des nouveaux entrants en cours d’année. J’étais stressée parce que je ne voulais pas perdre une année.  Puis, j’ai découvert le système de rentrée décalée et l’ETS qui proposait ses formations en initial ou en alternance.

Comment s’est passée cette formation accélérée ?

Au début, j’avais un peu peur d’être perdue en intégrant une classe au milieu du programme. En réalité, nous ne sommes pas tout de suite mélangés avec les autres étudiants. L’école propose une classe spéciale avec des professeurs dédiés qui nous encadraient, nous aidaient à avancer et à comprendre plus vite. La formation est beaucoup plus rapide que le cursus classique car nous avons seulement quelques mois pour couvrir l’intégralité du programme. C’est intense mais tout à fait faisable grâce à l’équipe encadrante. De plus, la pédagogie est axée sur la pratique, ce qui rend l’apprentissage plus facile. Les intervenants sont en partie des professionnels en activité, ils nous aident à le devenir à notre tour. Ils font en sorte que l’on se sente d’ores et déjà comme tel et non pas comme des étudiants.

Quand vous avez rejoint les autres étudiants en 2e année, avez-vous senti une différence de niveau ?

J’avoue que nous n’étions pas confiants au départ. Cependant, tout est mis en œuvre pour que l’intégration se passe bien et que l’on se sente au même niveau que les autres. Je n’ai pas eu de problème à ce niveau-là.

Conseilleriez-vous la rentrée décalée ?

Oui, mais seulement si on est prêt à s’investir à 100 % car ce n’est pas facile. Si on est motivé pour y arriver, cela vaut le coup.