Bibiana et Ilda: une mère, une fille et une même école

Bibiana et sa fille Ilda ont toutes les deux un point commun, leur formation à l’ETS. Seule différence, la maman a la casquette management alors que la fille détient celle du tourisme. Nous les avons rencontrés pour un témoignage mère/fille.

Bibiana et sa fille Ilda ont toutes les deux un point commun, leur formation à l’ETS. Seule différence, la maman a la casquette management alors que la fille détient celle du tourisme. Nous les avons rencontrés pour un témoignage mère/fille.

Comment êtes-vous arrivées à l'ETS? 

Bibiana : Je suis angolaise et je suis arrivée en France à l’âge de 29 ans. J’ai voulu reprendre mes études après 10 ans d’absence. Alors faire une licence à cet âge-là, c’était difficile surtout que j’arrivais dans un pays que je ne connaissais pas. Quand je suis arrivée à Paris, j’ai cherché une école pendant plus d’un an, mais je n’ai rien trouvé. J’étais désespérée, je n’avais plus espoir jusqu’à ce que je tombe sur l’ETS. J’ai postulé, j’ai passé l’entretien avec Bruno Orsel, le directeur, et j’ai été acceptée. Quand j’ai passé cet entretien, ça a été le coup de cœur, car j’ai été bien accueilli, l’école me plaisait ainsi que les cours. J’ai senti de belles valeurs se dégager de l’école.

Ilda : Après avoir fait un baccalauréat littéraire, j’ai voulu suivre une licence en psychologie, mais je me suis rapidement aperçu que ça ne me correspondait pas. J’avais toujours dans un coin de ma tête le tourisme. C’est alors que j’ai cherché des écoles et ma mère m’a rapidement parlé de l’ETS. Dès la première rencontre avec le directeur, j’ai aimé et j’ai foncé.

Bibiana vous avez décidé d'étudier le management. Vous Ilda le tourisme. Qu'est-ce qui vous plaît dans ces domaines? 

Bibiana : J’ai toujours aimé gérer, écouter et soutenir les autres. Alors, le management s’est révélé être le domaine qui me correspondait le mieux. Aujourd’hui, je suis manager chez Léon et je me sens bien, car je ressens cet esprit d’équipe, le service ou encore l’orientation. Le contact humain me plaît énormément.

Ilda : Je suis une personne active qui aime voyager, alors le tourisme me paraissait être logique pour ma future vie professionnelle. Mon amour pour les langues m’a également fait basculer vers ce choix. Dans le tourisme, j’étais aussi attirée par l’hôtellerie. Mon envie, c’est d’aider les gens dans leurs projets de voyages en proposant des choses innovantes, mais à petits prix. Depuis toute petite, je me vois être hôtesse de l’air. J’aurais pu faire une formation spécialisée pour apprendre ce métier, mais j’ai préféré faire une formation plus généraliste, pour voir les différents métiers du tourisme.

Pourquoi l’ETS et pas une autre ?

Bibiana : Quand je cherchais des écoles, je subissais des humiliations, on m’a même rit au nez en sachant que je voulais reprendre mes études à 29 ans. Alors que l’ETS m’a accueilli sans jugements et leurs valeurs humaines m’ont directement touché. L’équipe pédagogique a tout de suite compris ma situation et a toujours été là pour moi. Je tiens à souligner que c’est une école très rapide. Je me souviens avoir postulé le matin et avoir eu un retour seulement quelques jours après. Je trouve ça rassurant pour un étudiant.  

Ilda : À l’ETS, j’ai directement eu un contact facile et puis, tout s’est fait rapidement. L’équipe pédagogique a été bienveillante envers moi, ils m’ont épaulé notamment dans ma recherche d’alternance. C’est rare de trouver ça au sein d’une école. L’ETS proposait de l’alternance et pour moi, c’est le rythme idéal. Le fait d’être en entreprise me permet de pratiquer sur le terrain et apprendre en cours me permet d’approfondir mes connaissances.

Votre fille fait la même école que vous. Qu’est-ce que cela vous fait ?

Bibiana : Je suis tellement fière ! Quand elle est partie à l’ETS pour la première fois, elle a directement aimé, alors qu’elle avait beaucoup de mal à trouver une école. Voir que ma fille suit le même parcours que moi, même si c’est une formation différente puisqu’elle est en tourisme, je suis fière.

Ilda : Ça me fait un peu bizarre quand même, car quand ma mère vient à l’école, elle connaît pas mal de personnes même plus que moi parfois ! Mais d’un autre côté, je suis rassurée parce que je sais qu’elle m’a conseillé une bonne école.

Qu’est-ce que vous a apporté ou vous apporte l’ETS ?

Bibiana : Je retiens que du positif. Je me souviens de ma première année. J’étais la plus âgée, mais j’aimais l’atmosphère, les moments agréables qu’on passait tous ensemble et d’ailleurs, aujourd’hui, je suis encore en contact avec certains de mes camarades. Je retiens l’écoute et la proximité avec les intervenants et l’équipe pédagogique. J’ai été marquée par mes cours de droit ! Quand je suis arrivée là-bas, je n’aimais pas ça du tout, mais avec l’ETS, j’y ai pris goût. L’intervenante a toujours été derrière moi, à m’accompagner. Aujourd’hui, c’est drôle, je l’utilise ! L’ETS m’a vraiment redonné confiance alors que j’étais désespérée. Elle m’a énormément aidé au niveau des cours, et même de mes projets personnels.

Ilda : L’ETS m’apporte les connaissances nécessaires du domaine du tourisme. Ça m’apporte des connaissances dans tout même en droit et au bout du premier cours, j’étais déjà instruite. En BTS, c’est-à-dire en deux ans, on nous apprend beaucoup de choses et pourtant, c’est une période courte. 

Que pourriez-vous dire à un jeune qui recherche une école afin qu’il rejoigne l’ETS ?

Bibiana : Je motive tous les étudiants à rejoindre l’ETS. Si vous cherchez une école à Paris avec des valeurs humaines et qui a ce côté professionnalisant, elle est faite pour vous. C’est une école avec beaucoup de beaux principes, qui accompagne jusqu’au bout ses étudiants. Je l’ai conseillé à ma fille et ce n’est pas pour rien. Je pourrais la recommander à n’importe qui tant que la personne est motivée et a envie. Faites-moi confiance, vous pouvez y aller les yeux fermés.

Ilda : L’ETS, c’est comme une deuxième famille. Il y a beaucoup de jeunes, on peut facilement se faire des amis et c’est essentiel dans le bien-être et l’apprentissage. Mes camarades m’ont toujours aidé et c’est ça qui est plaisant aussi. On reçoit des connaissances, mais on est aussi bien entourés. Le programme proposé est complet et enrichissant. Les sorties en extérieur permettent d’être sur le terrain et d’en apprendre davantage sur le tourisme.

Quels conseils donneriez-vous aux étudiants ?

Bibiana : La seule chose qu’on peut avoir et maîtriser, c’est le diplôme que l’on veut. On peut acheter une maison ou même une voiture, mais le diplôme, c’est quelque chose qu’on décroche avec de la persévérance et beaucoup de travail. Si vous décidez de suivre des études, mettez-vous à fond dedans et posez-vous les bonnes questions, comme pourquoi je fais ces études ? Qu’est-ce que j’attends ? Si vous êtes à l’école, il faut apprendre et être ouvert à tout.

Ilda : Ne faites pas la fête la semaine ! Il faut rester focus sur les cours, il faut se fixer des objectifs. Comprenez que la période d’apprentissage est assez courte, qu’elle passe vite alors il faut savoir mettre certaines choses de côté. Le diplôme n’est pas vital, mais dans notre société, il est nécessaire. Dans une vie, il servira toujours.

Comment imaginez-vous votre avenir ?

Bibiana : J’ai toujours des projets, je ne m’arrête jamais. Je rêve de collaborer avec l’ETS, que ce soit avec mon association ou bien autre chose, comme le tourisme dans mon pays. J’ai toujours en tête l’envie de retourner de nouveau à l’ETS en tant qu’étudiante. En attendant, j’ai envie de continuer l’entreprenariat, car j’aime être à mon compte et cela me permettrait de donner plus de temps à mon association, qui se développe de plus en plus. Beaucoup de gens ont encore besoin de moi !

Ilda : J’ai beaucoup de projets, je suis quelqu’un qui réfléchit beaucoup à mon avenir. J’ai des passions dans la vie notamment la danse et le chant et je me dis pourquoi pas allier ces deux passions au tourisme. J’aimerais faire quelque chose pour mon pays d’origine, l’Angola. Il y a beaucoup de ressources, mais elles ne sont pas très développées, alors pourquoi pas élever ça. Je veux vraiment créer quelque chose à mon image pour aider mon pays et les autres.